Mais dans le fond, la question est-elle de réduire les posologies à l’initiation des traitements pour éviter une toxicité précoce et limiter les risques de mal-observance dans le cas de thérapies orales ? Est-ce de réduire les durées de traitement dont le rationnel est parfois discutable avec un risque de récidive appréhendé statistiquement, strictement et non individuellement ? Finalement à l’ère de la médecine personnalisée, rendue possible grâce à des thérapies de précision, des technologies de diagnostic et de suivi de plus en plus performantes, et des équipes qui se structurent entre l’hôpital et la ville avec de nouveaux métiers dans un […]