Il nous faut continuer à bien mélanger les ingrédients pour tenter d’assurer le meilleur pronostic possible à long terme notamment chez les patientes présentant une tumeur à haut risque de rechute, encore et toujours essentiellement défini par le statut ganglionnaire. En effet, qu’avons-nous appris, ou réappris ? Grâce à l’étude néerlandaise DATA, il est désormais acquis que prolonger l’hormonothérapie à au moins 6-7 années dont 4-5 ans d’inhibiteurs de l’aromatase est très bénéfique dans le cas des cancers ER/PR+ et pN+ ou au moins pT2. En parallèle, l’étude italienne GIM2, dans son versant étude du schéma dose-dense EC toutes les 2 […]