
Vraies opportunités et Faux espoirs dans les carcinomes urothéliaux !
Le point sur la prise en charge des TVNIM
Interview du Dr Géraldine Pignot par le Dr Delphine Borchiellini

Analyse de l’Etude PANDORE
Interview du Dr Yohann Loriot par le Pr Nadine Houédé

Nivolumab +/- boosts d’ipilimumab dans le carcinome urothélial métastatique en deuxième ligne. L’étude TITAN
La stratégie d’intensification selon la réponse initiale au nivolumab seul de l’étude TITAN déjà testé dans le carcinome rénal est ici appliqué au carcinome urothélial.

Etude LEAP-011 – Phase 3 randomisée
Interview du Dr Yohann Loriot par le Pr Nadine Houédé

19-Fév
Traitement d’entretien par inhibiteur de PARP après platine dans le carcinome urothélial : peut-être, si t’as une anomalie DNA Repair
La chimiothérapie par platine, traitement de référence de 1ère ligne pour le carcinome urothélial (CU) métastatique, peut avoir une activité en cas d’altération des gènes (DDR) de réparation de l’ADN.

19-Fév
L’hypothèse de proposer un traitement par inhibiteur de PARP (PARPi) est donc séduisante, d’une part par l’action directe du PARPi en cas d’anomalie DDR, mais également par l’hypothèse d’une sensibilité et/ou résistance croisées avec la platine. Dans ce contexte, [...]
L’Avelumab chez les patients PD-L1 + localement avancés ou métastatiques unfit au cisplatine en première ligne, étude ARIES de phase 2.
L’Avelumab remonte les lignes

19-Fév
L’Avelumab, anti-PD-L1, approuvé en traitement de maintenance après une première ligne de chimiothérapie à base de sels de platine, se positionne ici en frontline pour des patients ne pouvant recevoir de cisplatine en combinaison, sur une insuffisance rénale, sur une [...]
Durvalumab (D) plus olaparib (O) en première ligne de carcinome urothélial métastatique (mUC) non éligibles au cisplatine. Résultat de l’étude de phase II randomisée BAYOU.
Y a-t-il un intérêt à ajouter un inhibiteur de PARP (iPARP) à un anti-PD-L1 pour les patients avec un mUC non-éligibles au cisplatine ?

19-Fév
Les options thérapeutiques pour les patients avec un carcinome urothélial métastatique (mUC) non éligibles au cisplatine sont limitées. Chez ces patients, les anti-PD-(L)1 tel que le pembrolizumab sont une option dont l’efficacité reste modérée. La fréquence élevée d’altérations de gènes [...]
Traitement néoadjuvant par Enfortumab vedotin pour des patients avec un carcinome urothelial vesical ineligible au cisplatine
Nouvelle option thérapeutique en traitement néoadjuvant des TVIM ?

19-Fév
Les carcinomes urothéliaux, même s’ils ont pu bénéficier d’avancées thérapeutiques ces toutes dernières années, restent une pathologie grave et la moitié des patients en situation localisée, vont rechuter dans les 2 à 5 ans. La chimiothérapie néoadjuvante à base de [...]
Association Sacituzumab govitecan et pembrolizumab en deuxième de traitement post sels de platine chez des patients avec un carcinome urothélial métastatique.
Combiner ou séquencer ?

19-Fév
Sacituzumab Govitecan (SG° est le deuxième ADC (Anticorps Drug Conjugate) à s’implanter dans la prise en charge des carcinomes urothéliaux. Sa cible est l’antigène de surface Trop-2 et son cytotoxique le SN38 (famille des inhibiteurs de Topo 1). TROPHY-U-01 est [...]
Cibler HER2 dans le cancer urothélial : le trastuzumab-deruxtecan, nouvel ADC, en combinaison avec l’immunpothérapie.
Le ciblage de HER2 dans le cancer urothélial n’est pas une histoire récente, puisqu’on sait qu’il existe une altération de la voie moléculaire ERBB2 dans 10 à 15% des cancer urothéliaux (CU) (Robertson, Cell 2017), même si l’expression de HER2 varie beaucoup dans la littérature (entre 6 et 80%).

19-Fév
Le trastuzumab-deruxtecan (T-DXd) est un ADC couplant un anticorps anti-HER2 et une molécule cytotoxique topoisomérase I, développé et efficace dans le cancer du sein. Par ailleurs, l’association de T-DXd avec un anti-PD-L1 semble augmenter l’activité par rapport au T-DXd seul [...]
Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.