L’essai MINDACT avait initialement montré que les patientes ayant des caractéristiques clinico-biologiques à risque élevé de récidive mais dont la signature génomique indiquait un risque faible, avaient une survie sans métastase à distance (SSM) à 5 ans de 94,7 % […]
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Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.