Articles de Congrès
Sein/Gynécologie
7 décembre 2018
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Thierry PETIT
Faut-il prolonger une hormonothérapie adjuvante initiale comportant un inhibiteur de l’aromatase ? Les résultats d’une étude japonaise.
L’étude ATLAS a démontré pour le tamoxifène, avec l’inclusion de plus de 12 000 patientes, la supériorité d’une hormonothérapie adjuvante prolongée de 10 ans par rapport à une durée standard de 5 ans, avec amélioration significative de la survie globale (Davies C et al. Lancet 2013).
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Ohtani S et al., SABCS 2018, GS3-04
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1 response to “Faut-il prolonger une hormonothérapie adjuvante initiale comportant un inhibiteur de l’aromatase ? Les résultats d’une étude japonaise.”
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A quand une meta analyse de tous ces essais pour pouvoir enfin dire quelque chose de censé à nos patientes ?
Le problème est que les populations étudiées sont hétérogènes d’ou l‘absence de données fiables en terme de bénéfices réels .
Et quand on connaît les chiffres de l’observance réelle et avouée de nos patientes cela fait réfléchir avant d’affirmer un bénéfice de la prolongation pour tous !!