L’étude ATLAS a démontré pour le tamoxifène, avec l’inclusion de plus de 12 000 patientes, la supériorité d’une hormonothérapie adjuvante prolongée de 10 ans par rapport à une durée standard de 5 ans, avec amélioration significative de la survie globale (Davies […]
...Je n'ai pas de compte ?
Créer un CompteDéjà inscrit ?
Répondre
Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.
Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.
Une réponse à “Faut-il prolonger une hormonothérapie adjuvante initiale comportant un inhibiteur de l’aromatase ? Les résultats d’une étude japonaise.”
LAURENCE VENAT BOUVET
A quand une meta analyse de tous ces essais pour pouvoir enfin dire quelque chose de censé à nos patientes ?
totLe problème est que les populations étudiées sont hétérogènes d’ou l‘absence de données fiables en terme de bénéfices réels .
Et quand on connaît les chiffres de l’observance réelle et avouée de nos patientes cela fait réfléchir avant d’affirmer un bénéfice de la prolongation pour tous !!