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Faut-il prolonger une hormonothérapie adjuvante initiale comportant un inhibiteur de l’aromatase ? Les résultats d’une étude japonaise.

L’étude ATLAS a démontré pour le tamoxifène, avec l’inclusion de plus de 12 000 patientes, la supériorité d’une hormonothérapie adjuvante prolongée de 10 ans par rapport à une durée standard de 5 ans, avec amélioration significative de la survie globale (Davies C et al. Lancet 2013).

L’étude ATLAS a démontré pour le tamoxifène, avec l’inclusion de plus de 12 000 patientes, la supériorité d’une hormonothérapie adjuvante prolongée de 10 ans par rapport à une durée standard de 5 ans, avec amélioration significative de la survie globale (Davies […]

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Une réponse à “Faut-il prolonger une hormonothérapie adjuvante initiale comportant un inhibiteur de l’aromatase ? Les résultats d’une étude japonaise.”

  1. LAURENCE VENAT BOUVET

    A quand une meta analyse de tous ces essais pour pouvoir enfin dire quelque chose de censé à nos patientes ?
    Le problème est que les populations étudiées sont hétérogènes d’ou l‘absence de données fiables en terme de bénéfices réels .
    Et quand on connaît les chiffres de l’observance réelle et avouée de nos patientes cela fait réfléchir avant d’affirmer un bénéfice de la prolongation pour tous !!

    tot

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Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.