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  • Laurent Zelek, Bobigny


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Notre prise de décision tient-elle mieux compte de la qualité de vie quotidienne des patientes ?

Les deux présentations de l’essai SOFT ont été largement commentées. Le dilemme est celui d’un traitement incontestablement plus efficace notamment chez les patientes en particulier pour les plus jeunes d’entre elles au prix d’une toxicité non négligeable affectant plusieurs aspects de la vie quotidienne : bouffées de chaleur, arthralgies, sécheresse vaginale. Si nous considérons les mesures de qualité de vie, cette dernière ne semble pas affectée par le traitement ce qui est assez surprenant pour quiconque à l’expérience clinique de l’association d’une suppression ovarienne aux anti-aromatases dans ce type de population. Il y a sans doute un monde entre les échelles et la qualité de vie …

Si nous nous replaçons de longues années en arrière, nous avons généralisé la prescription d’anti-aromatases pour un bénéfice guère supérieur à celui observé dans SOFT et ce n’est que secondairement que la question de la tolérance du traitement est devenue […]

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Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.