Articles de Congrès
Sein/Gynécologie
12 décembre 2014

Laurent Zelek, Bobigny
Notre prise de décision tient-elle mieux compte de la qualité de vie quotidienne des patientes ?
Les deux présentations de l’essai SOFT ont été largement commentées. Le dilemme est celui d’un traitement incontestablement plus efficace notamment chez les patientes en particulier pour les plus jeunes d’entre elles au prix d’une toxicité non négligeable affectant plusieurs aspects de la vie quotidienne : bouffées de chaleur, arthralgies, sécheresse vaginale. Si nous considérons les mesures de qualité de vie, cette dernière ne semble pas affectée par le traitement ce qui est assez surprenant pour quiconque à l’expérience clinique de l’association d’une suppression ovarienne aux anti-aromatases dans ce type de population. Il y a sans doute un monde entre les échelles et la qualité de vie …

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