Actualités Scientifiques
Uro-Onco
12 février 2024
Pr Renaud de CREVOISIER
Peut-on proposer un hypo-fractionnement extrême pour irradier les aires ganglionnaires pelviennes en cas d’irradiation prostatique ?
Résultats préliminaires encourageant en faveur d’un hypo-fractionnement extrême pelvien du fait d’une toxicité aigüe non significativement augmentée, en particulier sur le plan digestif.
Ce contenu est réservé aux membres
Vous devez être connecté pour accéder à ce contenu.
L'inscription est gratuite !
L'inscription est gratuite !