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Actualités Scientifiques
24 décembre 2015
Onco-Dermato
Dr Thomas JOUARY

Seconde génération d’inhibiteurs de RAF : les briseurs de paradoxe

Les mutations de BRAF sont un moteur puissant dans la cancérogénèse de certains cancers, dont le mélanome. Il existe d’une part une efficacité démontrée des inhibiteurs de RAF dans plusieurs cancers en stade métastatique, mais par ailleurs ces mêmes molécules (vemurafenib et dabrafenib) ont aussi été responsables de la croissance d’autres cancers (mélanomes, carcinomes épidermoïdes cutanés, cancer du pancréas, etc.). Ainsi les inhibiteurs BRAF peuvent de façon paradoxale inhiber BRAF muté mais aussi stimuler BRAF non muté par une altération dans la voie des MAPKinases (telle une mutation de RAS par exemple).
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