Le Qi Gong fait partie de la médecine chinoise aux côtés de l’acupuncture, de la diététique, de l’usage des plantes, des massages, des manipulations.
Depuis des centaines d’années et surtout depuis ces trente dernières années, le Qi Gong est utilisé pour traiter le cancer, dans des stratégies qui combinent la médecine classique, l’usage des plantes et le Qi Gong.
Le Qi Gong repose donc sur les fondements communs à la médecine chinoise : la circulation du Qi dans les méridiens, les règles du Yin-Yang, les cinq éléments –le Bois, le Feu, la Terre, le Métal et l’Eau – de l’acupuncture avec les cinq organes correspondants : le Foie, le Cœur, la Rate, le Poumon et le Rein.
Mais chaque organe recouvre une entité physiologique complexe.
Ainsi quand on dit le Rein en médecine chinoise, son influence s’exerce sur la fonction urinaire certes, mais aussi sur les surrénales, les glandes génitales – testicules, ovaires et utérus -, sur la moelle épinière, le cerveau mais encore sur la moelle osseuse et la fabrication des globules rouges et de nos cellules de défenses – les globules blancs, comme les lymphocytes -, la moelle épinière et le cerveau.
Cette « cohérence énergétique » explique, dans certains cas, les cohérences des localisations des métastases selon le cancer primaire.