Articles de Congrès
Digestif
21 octobre 2018

Rosine Guimbaud
Atézolizumab-bevacizumab : l’association de première ligne qui fait trembler le sorafenib sur ses bases dans le carcinome hépatocellulaire avancé.
L’immunothérapie semble prometteuse dans le CHC. Néanmoins les premières études l’évaluant en monothérapie montrent une efficacité qui reste limitée à environ 20% des patients en termes de taux de réponse. L’addition de bevacizumab pourrait majorer l’efficacité des immunothérapies anti-PD(L)-1 en reversant l’immunosuppression médiée par le VEGF et en favorisant, via la normalisation du réseau vasculaire, l’infiltration tumorale par les lymphocytes T. Dans cette étude internationale de phase 1b l’association Atezolizumab (Ac anti PD-L1) et Bevacizumab a été évaluée chez 103 patients en 1ère ligne du CHC. Cf diapo design.

Ce contenu est réservé aux membres
Vous devez être connecté pour accéder à ce contenu.
L'inscription est gratuite !
L'inscription est gratuite !
J. Pishvaian, et al. ESMO® 2018 – Abs LBA26
Article précédent
Le camrelizumab : un nouvel antiPD1 dans le CHC avancé en deuxième ligne
Article suivant
Cancer gastrique avancé : Le trifluridine-Tipiracile (Lonsurf®), un arme de choix au-delà de la deuxième ligne.