Articles de Congrès
Sein/Gynécologie
3 juin 2018
D'après Anne-Claire HARDY-BESSARD
Peut-on prédire la pCR avec un petscanner ?
Phase II évaluant la corrélation entre la SUV sur le petscanner et la pCR après un traitement par double blocage par pertuzumab et trastuzumab en situation néo adjuvante d’un cancer du sein Her2 positif
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R.M. Connolly et al. – ASCO®2018 – Abs.#511
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2 responses to “Peut-on prédire la pCR avec un petscanner ?”
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Résultats très inintéressants, un test de chimio prédiction qui est une aide à la conduite de la chimiothérapie néo adjuvante parfois difficile à gérer. on obtiendrait peut être la même conclusion pour les triples négatifs non HER 2+. Bon ASCO . MS
Merci beaucoup pour le recensement de ce travail qui démontre bien que l’étude in vivo de la dérégulation du métabolisme du glucose et sa variation au décours du traitement est un vrai biomarqueur prédictif de réponse et ce, de façon très précoce puisque nous sommes à J15 du debut du traitement et de manière non invasive
Petit rectificatif si je peux me permettre, le SUL n’est pas un SUV corrélé à l’index de masse corporel puisque le SUV lui même est corrélé à la masse corporelle en Kg mais le SUL est rapporté à la masse maigre L vaut pour Lean Body Mass. Ce dernier critère est proposé depuis 2009 par les critères de réponse TEP dénommés PËRCIST 1.0 et présentés d’ailleurs lors d’une joint session à l’ASCO 2009 en t l’ASCO et la SNM (société de médecine nucléaire US. Il a été retenu pour sa fiabilité, reproductibilité et sa robustesse car le SUV (body mass) est entaché d’erreur lorsque le poids et le BMI augmente avec une surestimation induite par la faible consommation de gluocose par la graisse.
Il est évident que ces données ne peuvent pas être connues des cliniciens donc il n’y a pas de soucis mais la précision s’imposait surtout dans la perspective de futurs essais néoadjuvants incluants la TEP comme biomarqueur prédicitif
Khaldoun KERROU
Médecine Nucléaire
AP-HP Hopital TENON