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Actualités Scientifiques
28 juin 2016
Uro-Onco
Pr Nadine HOUEDE

Rassurons-nous : il y a peu de dégradation de la fonction respiratoire à long terme après bleomycine.

La fibrose pulmonaire est un des risques majeurs du traitement par bleomycine. Chez les patients atteints d’une tumeur germinale, les altérations liées à la bleomycine dans le cadre du protocole BEP (association de la bléomycine à l’étoposide et au cisplatine) n’est que de 7% avec un risque létal inférieur à 1%[1-2]. En revanche une incertitude demeure en ce qui concerne les facteurs de risque de toxicité pulmonaire tardive liée au BEP dans ce type de cancer par insuffisance des études réalisées, notamment du fait d’un faible nombre de patients et d’imprécisions quant aux détails des traitements administrés.
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