Aujourd’hui la prise en charge en première ligne du cancer du rein métastatique a été radicalement modifiée avec l’arrivée de l’immunothérapie soit en combinaison avec une bi-immunothérapie (Ipilimumab plus nivolumab), soit en association avec un anti-VEGF(pembrolizumab plus axitinib) ^(1-3). Si ces nouvelles thérapies ont permis d’améliorer la la survie sans progression et la survie globale des patients, ils finissent presque tous par progresser, sans que l’on connaisse la meilleure option thérapeutique ultérieure. Le bénéfice à utiliser un anti-CTLA4 en combinaison à un anti-PD-1/L1 après exposition à un anti-PD-1/L1 est inconnu.