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  • Dr Loïc VERLINGUE

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Inhiber PARP sans évidence de défaut de la réparation : ça marche tout de même !

Depuis des années, nous utilisons l’olaparib en maintenance chez les patientes présentant un cancer de l’ovaire avec mutation de BRCA, soit 15-20% des patientes. Plus récemment, le niraparib a reçu l’autorisation étendue à toutes les patientes sensibles aux sels de platine. Voici la petite révolution : le niraparib augmente significativement la survie sans progression des patientes, même celles ne présentant aucune évidence d’anomalie de la recombinaison homologue.

Ce sont les résultats d’un essai de phase III, publiés dans le New England Journal of Medicine, qui nous indiquent que, contrairement à la croyance populaire, les inhibiteurs de PARP peuvent fonctionner indépendamment d’une anomalie génétique de la réparation de […]

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