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Actualités Scientifiques
3 décembre 2019
Soins Oncologiques de Support
Dr Loïc VERLINGUE

Inhiber PARP sans évidence de défaut de la réparation : ça marche tout de même !

Depuis des années, nous utilisons l’olaparib en maintenance chez les patientes présentant un cancer de l’ovaire avec mutation de BRCA, soit 15-20% des patientes. Plus récemment, le niraparib a reçu l’autorisation étendue à toutes les patientes sensibles aux sels de platine. Voici la petite révolution : le niraparib augmente significativement la survie sans progression des patientes, même celles ne présentant aucune évidence d’anomalie de la recombinaison homologue.
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