Pour les patients présentant un lymphome folliculaire réfractaire ou en rechute précoce, l’autogreffe a longtemps été (et reste ?) une des options afin de consolider une possible réponse en deuxième ligne. Dans le contexte des nouvelles immunothérapies, celle-ci n’a jamais été autant challengée. Des résultats de suivi à long terme pourraient permettre de mettre en lumière un possible bénéfice, si ce n’est une possible guérison pour certain patients.