Articles de Congrès
Poumon
10 octobre 2016

D'après Romain Corre
Pour les TNE : l’everolimus, le pasireotide ou les deux ?
L’étude de phase III RADIANT 4 a récemment démontré que l’everolimus améliore significativement la survie sans progression des tumeurs neuroendocrines métastatiques bien différenciées, non associées à un syndrome sécrétoire comparativement au placebo. L’étude de phase II LUNA évalue quant à elle l’efficacité et la tolérance de l’everolimus (E, inhibiteur de mTor), du Pasireotide LP (P, analogue de la somatostatine) et de l’association des deux (E+P) chez des patients porteurs de tumeurs carcinoïdes pulmonaires ou thymiques métastatiques en progression (cf schéma de l’étude). Le critère de jugement principal est l’évaluation de la réponse selon RECIST 1.1 à 9 mois de traitement.

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