La question de la possibilité de diminuer la durée du traitement par trastuzumab adjuvant s’est heurtée ces dernières années à des soucis de puissance et/ou de design statistique, laissant cette question encore largement débattue. Helena Earl a rapporté les résultats […]
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Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.
2 résponses à “PERSEPHONE : la sortie de l’enfer des études de désescalade dans les HER2+ ?”
Remy SALMON
Chers amis
totMerci de ces informations
Pour moi la question reste la même depuis des années
Comment expliquer clairement à une patiente ce qu’est une étude de « non infériorité » qui est positive! en choisissant un risque de 3%
Nous ne pouvons pas rester dépendants à ce point des statisticiens pour traiter des patientes 6 mois ou un an
Marc SPIELMANN
Sans vouloir jouer la désescalade à tous pris, nous devons cependant reconnaître que ces résultats sont inintéressants et en faveur d’un traitement de 6 mois, au moins pour les patientes RE + et de bon pronostic. La conclusion de l’étude Phare sur la non infériorité a toujours été bien difficile à comprendre et a expliquer.
totje poursuivrais pour ma part 12 mois de Trastuzumab pour le patientes à pronostic réservé et les RE négatifs, pour les autres on réfléchira patiente par patiente en RCP.