L’année dernière, déjà en session orale, Maria Ghi rapportait les données de toxicité de la grande étude de phase III italienne qui compare un bras avec induction suivie de RCT avec cisplatine-FU ou cetuximab, avec un bras RCT seule. […]
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Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.
Une réponse à “Chimiothérapie d’induction des cancers de la tête et du cou : a light in the night!”
Claude KRZISCH
Bien sûr que les patients provenaient d’études en défaveur puisque c’est la majorité. Le fait de ne pas avoir recruté tous les patients nécessaires ne pose qu’une question de puissance qu’on essaie plus ou moins de corriger par des méta analyses -> je ne vois pas le problème sauf que les français utilisent la chimiothérapie d’induction « hors evidence based medicine » depuis 20 ans et qu’il serait difficile de changer.
tot