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  • Yann Neuzillet


  • Uro Onco

Ne jetons pas le bébé alisertib avec l’eau du bain…

Les résultat de l’étude de phase II de l’alisertib, un inhibiteur d’aurora kinase A, chez les patients porteurs d’un cancer de prostate neuroendocrine métastatique ont été rapportés et l’étude est négative.

Les formes neuroendocrines de cancer de la prostate correspondent à une différentiation clonale de l’adénocarcinome en cellules produisant peu ou plus de PSA, dont la croissance devient indépendante du récepteur aux androgènes et dont l’agressivité grève le pronostic, avec une […]

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Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.