• Article

  • Gérard LLEDO

  • Digestif

Cancer du rectum, il faut tendre à la préservation d’organe !

Telle pourrait être la devise synthétisant cette session de posters-discussion inaugurée par quatre présentations portant sur ce thème, tant les séquelles fonctionnelles et psychologiques de la proctectomie, avec ou sans conservation sphinctérienne, peuvent obérer la qualité de vie.

L’étude de phase II 28 (NCT03259035) (Abstract 3508) a cherché à déterminer si les patients porteurs d’un cancer rectal cT1-T3a/bN0 pourraient bénéficier, en cas de réponse à un traitement néoadjuvant à base de FOLFOX ou de XELOX, d’une préservation d’organe. […]

...

Je n'ai pas de compte ?

Créer un Compte

Déjà inscrit ?

2 résponses à “Cancer du rectum, il faut tendre à la préservation d’organe !”

  1. Slimane DERMECHE

    Un sujet qui n’a pas fini de nous réserver des surprises évolutives

    tot
  2. STEPHANE Benoist

    Je suis très surpris que pour des tumeurs plus évoluées on prenne le taux de conservation d’organe comme critères de jugement, plutôt que la survie sans récidive. En cas de cancer du rectum, conserver l’organe c’est super mais guérir c’est encore mieux. Dans l’essai opéra, la survie sans récidive est de84% à 3 ans en cas de réponse complète et de 76% en cas de réponse presque complète alors que dans ces deux situation, un protectomie permet une survie sans récidive de plus de 90%.

    tot

Répondre

Vous devez être connecté pour ajouter un commentaire.

Attention : ceci est un compte-rendu et/ou résumé des communications de congrès dont l'objectif est de fournir des informations sur l'état actuel de la recherche ; ainsi, les données présentées sont susceptibles de ne pas être validées par les autorités françaises et ne doivent donc pas être mises en pratique. Ce CR a été réalisé sous la seule responsabilité du coordinateur, des auteurs et du directeur de la publication qui sont garants de l’objectivité de cette publication.