L’équipe éditoriale du Lancet Oncology a mis en valeur plusieurs études récentes (notamment celle de Paolo Bossi à l’ESMO®2016) rapportant la sous-évaluation des toxicités des traitements anti-cancéreux. Cette prise de conscience n’a pas pour objectif de critiquer les prescripteurs mais de réévaluer nos pratiques dans un contexte de développement de nouvelles molécules onéreuses autant que de recherches de produits à plus bas coût, tels que les génériques ou les biosimilaires.
Un warning sur la nécessité de mener des études de pharmacovigilance pré comme post marketing, autant pour les anciennes que pour les nouvelles molécules, est mis en avant. L’idée n’est pas simplement de parler des conséquences en termes de tolérance […]
Des études récentes mais aussi anciennes rapportent en effet la sous-évalutaion des toxicités des traitements anti-cancéreux, je pense que ce n’est un scoop pour personne, par contre on voit bien que cela concerne essentiellement les chimiothérapies et les « nouvelles molécules ». Qu’en est il des effets indésirables des innhibiteurs de l’aromatase ?Les effets à court terme sont toujours minimisés, les effets à long terme se révèlent, ils sont niés pourtant ils avaient été annoncés parce que le mode d’action des médicaments les laissait prévoir !
Une réponse à “La safety au premier plan.”
Danielle BARBOTIN
Des études récentes mais aussi anciennes rapportent en effet la sous-évalutaion des toxicités des traitements anti-cancéreux, je pense que ce n’est un scoop pour personne, par contre on voit bien que cela concerne essentiellement les chimiothérapies et les « nouvelles molécules ». Qu’en est il des effets indésirables des innhibiteurs de l’aromatase ?Les effets à court terme sont toujours minimisés, les effets à long terme se révèlent, ils sont niés pourtant ils avaient été annoncés parce que le mode d’action des médicaments les laissait prévoir !
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