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  • Dr Rémi VEILLON

  • Poumon

Ne pas rester sur ses ALKis…

Cela commence à être une habitude, mais il ne se passe pas un mois sans nouvelle des patients transloqués ALK. Cet acharnement provient sans doute du pronostic : si on s’en réfère au suivi des patients ayant reçu du crizotinib dans le cadre de son ATU, la survie des patients ayant reçu par la suite d’autres anti ALK pourrait aller jusqu’à 7 ans(1). Ainsi, au diagnostic d’une maladie ALK +, il faut s’attendre à suivre ce patient bien plus longtemps qu’un autre, à condition de bien choisir la stratégie de traitement, certaines pouvant lui apporter une plus-value de plusieurs années.

L’article reprend les données d’une étude japonaise de phase I / II testant l’alectinib  chez des patients suivis pour CBNPC transloqués ALK, ayant déjà reçu de la chimiothérapie mais naïfs d’anti ALK. Les données de survie concernent 46 patients en […]

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