Une équipe Marseillaise spécialiste des coronavirus a mis en évidence une baisse – voire une disparition – de la charge virale de COVID-19 après 6 jours de prise d’hydroxychloroquine (antipaludéen, anti-inflammatoire) lors d’un essai non-randomisé sur une vingtaine de patients traités (1). Voici une ébauche de réflexion sur les potentiels risques d’interaction médicamenteuse de cette molécule, récemment inscrite sur la liste II des substances vénéneuses (2), avec les anticancéreux.
Deux études (une française (1) et une chinoise (3) ont mis en évidence une efficacité clinique antivirale de l’hydroxychloroquine sur des patients infectés par le COVID-19, notamment via une diminution de la charge virale après 6 jours de traitement, une […]
Une réponse à “Les interactions de Raoul.”
JEAN LOUP MOUYSSET
merci pour ce travail
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