Le cocktail aracytine forte dose et autogreffe a transformé la survie des patients atteints de lymphome à cellules du manteau (LCM), cependant 25% des patients vont rechuter dans les 2 ans suivant l’autogreffe. Identifier ces cas dès le diagnostic est un des enjeux majeurs dans la prise en charge et la biologie moléculaire a son rôle à jouer.
Contexte : Dans le LCM, des mutations récurrentes affectant les gènes de réparation de l’ADN, régulateurs de l’épigénétique ou impliqués dans la signalisation ont été mise en évidence, avec un rôle pronostic pour les mutations de TP53 notamment. L’objectif du travail […]