PD-L1 : forces et faiblesses sont connues et discutées. Y a-t-il d’autres biomarqueurs disponibles (si possible en routine), complémentaires de PD-L1, pour aider à sélectionner les patients les plus à même de bénéficier de l’immunothérapie en monothérapie ? Parmi ceux-ci, une équipe allemande s’est intéressée aux mutations de KRAS et TP53 car plus fréquemment associées à une surexpression de PD-L1, au statut tabagique actif et à une dérégulation du cycle cellulaire.
Pour essayer de répondre à cette question, les données de 696 patients traités au sein de 24 centres allemands participant au programme de génotypage moléculaire national (nNGM) ont été analysées de façon rétrospective. Il s’agissait de CBNPC non-épidermoïdes, de stade […]