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  • 13/07
    2020

Le paradoxe de l’obésité dans le cancer du rein à cellules claires.

Le paradoxe de l’obésité dans le cancer du rein fait référence au fait que l’obésité soit à la fois associée à un risque accru de cancer du rein à cellules claires (ccRCC) mais également associée à un meilleur pronostic en cas de cancer, qu’il soit localisé ou métastatique sous traitement par inhibiteurs de thyrosine kinase (TKI) ou immunothérapie. Les mécanismes sous-jacents sont mal connus, et ces données surprennent d’autant plus qu’il a été montré récemment que l’obésité était associée à une exhaustion plus marquée des lymphocytes T (via la voie des leptines) que chez les non-obèses (1).

Sanchez et al. apportent ici de nouvelles données à partir du transcriptome de la tumeur primitive et du tissu adipeux péri-tumoral chez des patients avec un ccRCC, obèses (BMI≥30) vs non en surpoids (BMI<25) au sein de 5 cohortes prospectives [...]

  • 13/07
    2020

De l’espoir pour les patients avec un carcinome rénal non à cellules claires !

Les carcinomes rénaux à cellules claires correspondent à environ 80% des tumeurs rénales et, les 20% restant sont classés en variants histologiques avec différents sous-types qui peuvent être associés à une composante sarcomatoide [1-2]

Ce groupe a un pronostic plus défavorable et répond moins favorablement aux thérapies ciblées[3]. Cette étude de phase 2 a évalué spécifiquement cette population, souvent exclue des grands essais de phase III, incluant différents variants histologiques (papillaire, chromophobe, tubes collecteurs, [...]

  • 13/07
    2020

PSA < 0,2 à 4 ans : peu de risque de rechuter après curiethérapie pour un cancer de la prostate.

Un taux de PSA inférieur à 0,2 ng dosé 4 ans après curiethérapie de prostate indique la guérison après curiethérapie pour cancer de prostate.

L’analyse a porté sur plus de 14000 patients traités pour cancer de prostate, tous par curiethérapie, seule ou en association avec une irradiation externe et/ou une hormonothérapie. L’objectif était d’identifier le taux de PSA mesuré 4 ans après curiethérapie associé [...]

  • 13/07
    2020

Os et cancer de la prostate : quand les guidelines de l’ASCO® s’inspirent des Canadiens.

Quand les recommandations de l’ASCO® suivent d’autres recommandations qui ont utilisé la méthodologie de type AGREE II (1), un processus d’enregistrement permettant de les valider, afin d’y donner accès à une plus large communauté oncologique internationale.

Ici sont présentées, validées par l’ASCO® les recommandations canadiennes sur la prise en charge osseuse dans le cancer de la prostate (2),. Pour les patients non métastatiques traités par hormonothérapie et à haut risque fracturaire, le denosumab à visée de [...]

  • 13/07
    2020

Traitement par radio-isotope dans le cancer prostatique métastatique.

L’équipe de biostatistique de Gustave Roussy a fait un point sur les résultats publiés avec les différentes thérapies radiopharmaceutiques ciblant l’os dans le cadre d’une méta-analyse, en utilisant la méthodologie PRISMA [1].

Au total 9 essais randomisés avec un bras témoin ont été sélectionnés. Ces études incluaient l’évaluation soit d’un radio-émetteur de type α (Radium 223) soit de type β (Strontium 89). Un effet thérapeutique différent entre ces deux radio-émetteurs a été [...]

  • 13/07
    2020

Pas plus d’impact sur la dysfonction érectile après hypofractionnée sévère irradiation standard par rapport à un traitement standard dans les cancers de prostate ?

L’hypofractionnement extrême des cancers de prostate ne modifie pas le risque de dysfonction érectile mais la dose au bulbe impacterait sur ce risque.

Cette étude a analysé 673 patients avec cancer de prostate localisé, randomisés entre une irradiation standard (STD : 39 séances de 2 Gy en 8 semaines) et une irradiation avec hypofractionnement sévère (UHF : 7 séances de 6,1 Gy en 2,5 semaines), [...]

  • 13/07
    2020

Impact de l’arrêt du dépistage sur les résultats post-prostatectomie.

Depuis 2012, les recommandations de l’US Preventive Services Task Force se sont positionnées contre le dépistage du cancer de la prostate par dosage du PSA.

Dans une récente étude rétrospective, l’impact de ces recommandations sur les caractéristiques au diagnostic et les résultats oncologiques et fonctionnels après prostatectomie a été analysé. Après 2012, les auteurs ont constaté une augmentation significative de la proportion de cancer de [...]

  • 13/07
    2020

Validation d’un sous-groupe de meilleur pronostic parmi les patients avec un cancer de la prostate de haut risque.

La notion de haut risque selon la classification de d’Amico, basée sur le T>3, le score de Gleason > 8 et le PSA >20 ng/ml [1], est encore largement utilisée pour définir la meilleure option thérapeutique des patients diagnostiqués avec un cancer de la prostate à un stade localisé. Cependant il s’agit d’un large groupe hétérogène dont l’évolution individuelle peut être très différente.

L’étude PLCO [2] précédemment publiée, permet d’accéder à une base de données de patients avec cancer de la prostate de grande envergure avec plus de 3000 patients inclus, dont 868 classés à haut risque. L’objectif ici était de valider quel [...]

  • 11/05
    2020

Étude POUT : la chimiothérapie adjuvante dans les tumeurs urothéliales des voies excrétrices (TVES) devient un standard.

Dire que la publication de l’étude POUT (Peri-Operative chemotherapy vs sUrveillance in upper Tract urothelial cancer) était attendue est un euphémisme dans la mesure où l’étude a été présentée à l’ASCO®2018 ! . Si l’on commençait à craindre que les données ne soient pas si robustes que présentées à l’ASCO®, cette publication prouve le contraire.

L’étude POUT est une étude randomisée de phase III internationale comparant un doublet de chimiothérapie par platine-gemcitabine 4 cycles de 21 jours à une simple surveillance dans les 90 jours suivant une néphro-urétérectomie (NUT) pour des TVES localisées infiltrant le [...]

  • 11/05
    2020

Hormonothérapie plus radiothérapie post prostatectomie : duo gagnant pour la survie en cas de rechute biologique

Le taux de PSA à la récidive biologique peut être considéré pour décider ou non d’une hormonothérapie associée à l’irradiation, dans une évaluation de la balance bénéfice/risque de cette hormonothérapie.

L’objectif de cette étude était d’analyser l’impact du taux de PSA à la récidive biologique (0,2 à 4 ng/ml) après prostatectomie radicale, en fonction du type de traitement de rattrapage associant ou non une hormonothérapie à la radiothérapie (RT). La [...]

  • 11/05
    2020

Bientôt un antagoniste de la GnRH par voie orale ?

Les analogues de la LH-RH et les antagonistes de la GnRH peuvent être administrés par voie sous-cutanée ou intra-musculaire et nécessitent des injections mensuelles, trimestrielles ou semestrielles.

Le relugolix,un nouvel antagoniste de la GnRH par voie orale, a été évalué dans un récent essai de phase II chez 103 patients pris en charge pour un cancer de la prostate de risque intermédiaire traités par radiothérapie externe associée [...]

  • 11/05
    2020

Impact du sous-type moléculaires sur l’ immunothérapie en situation néo-adjuvante du cancer de la vessie.

L’étude PURE-01 a évalué l’intérêt d’un traitement néo-adjuvant par pembrolizumab avant cystectomie totale pour tumeur de vessie infiltrante, avec des taux de réponses pathologiques complètes de l’ordre de 40%.

Une étude ancillaire a été réalisée afin d’étudier certains marqueurs potentiels, tels que la charge mutationnelle, le statut PD-L1, les sous-types moléculaires et les signatures impliquant plusieurs gènes de l’immunité. La signature Immune190, tout comme les signatures basées sur l’interféron, [...]

  • 11/05
    2020

Peut-on proposer une intensification pour les tumeurs germinales en rechute cérébrale ?

Si les tumeurs germinales sont les cancers les plus fréquents des sujets jeunes, elles n’en restent pas moins des tumeurs rares de bon pronostic dans 80% des cas (1). La rechute métastatique cérébrale, même si elle est rare, est généralement associée à un pronostic sombre (2) et sa prise en charge optimale est peu codifiée,

Ce travail d’une des plus importantes équipes dans le somaine (Université de l’Indiana), a enregistré 25 patients successifs qui, entre 2006 et 2016, ont eu une rechute métastatique cérébrale et ont été pris en charge avec une intensification thérapeutique par [...]

  • 11/05
    2020

Carcinome tubulo-papillaire du rein : enfin un espoir avec l’axitinib.

Les carcinomes tubulo-papillaires du rein représentent 10 à 15% des cas et ne sont habituellement pas inclus dans les essais cliniques.

L’essai français de phase II AXIPAP a évalué l’intérêt d’un traitement de première ligne par axitinib (5mg 2 fois par jour) chez 44 patients présentant un carcinome tubulo-paillaire métastatique (13 type 1, 30 type 2, 1 non-spécifié). La survie sans [...]

  • 11/05
    2020

Cancer de Vessie métastatique : le retour de la Vinflunine en première ligne ?

L’étude VINGEM est une étude de phase II randomisée ayant inclus 62 patients pris en charge pour un cancer de la vessie métastatique en première ligne et non éligible au cisplatine.

Cette étude a comparé un traitement par vinflunine en association à la gemcitabine (VG) versus gemcitabine-carboplatine (GC). L’objectif principal était la survie sans progression et il n’y avait pas de différence significative entre les deux bras (6,2 versus 6,3 mois). [...]

  • 11/05
    2020

Performance status : un facteur pronostique chez les patients traités par immunothérapie pour un carcinome urothélial.

Le développement des indications de l’immunothérapie dans la prise en charge des carcinomes urothéliaux permet aujourd’hui d’avoir du recul afin d’évaluer la validité des facteurs pronostiques connus sous chimiothérapie. L’état général, évalué par le performance status (PS) est un indicateur classique pour le suivi des patients sous traitement oncologique (1)

Avec le développement des indications d’immunothérapie dans les carcinomes urothéliaux, le suivi en vie réelle a montré que le nombre de patients traités dans les 60 jours avant leur décès avait largement augmenté, avec presque 25% des patients fin 2017, [...]

  • 24/02
    2020

L’enzalutamide pour le cancer de la prostate métastatique hormonosensible : une troisième option !

Après le docetaxel (1-2) et l’acetate d’abiraterone(3), cette étude de phase 3 positionne une troisième option, l’enzalutamide chez les patients atteints d’un cancer de la prostate métastatiques en phase hormonosensible.

Parmi les 1 150 patients inclus, la moitié ont reçu de l’enzalutamide en plus de la déprivation androgénique standard (ADT). Une stratification sur le volume tumoral (haut versus bas selon la définition de l’essai CHARTEED) et sur une chimiothérapie préalable [...]

  • 24/02
    2020

Libre choix de débuter l’hormonothérapie avant ou au début de la radiothérapie dans les cancers de prostate localisés.

Il y a des arguments théoriques (avec des données pré-ciniques) à penser qu’une hormonothérapie néo-adjuvante serait plus efficace dans le traitement du cancer prostatique et moins toxique en permettant de limiter le volume cible d’irradiation qu’une hormonothérapie concomitante et adjuvante.

Cette étude randomisée a inclus 432 patients ayant un cancer de prostate localisé, principalement de haut risque (95%) recevant tous une irradiation prostatique à une dose plutôt élevée (76 Gy) associée à 6 mois d’hormonothérapie. L’hormonothérapie était débutée soit 4 [...]

  • 24/02
    2020

La radiothérapie de rattrapage plus forte que les anti-androgènes non stéroïdiens !

En cas de récidive biologique après prostatectomie, l’irradiation apporte un bénéfice par rapport à une hormonothérapie exclusive par anti-androgène non stéroïdien.

Cette étude japonaise  a inclus 210 patients présentant une récidive biologique (PSA entre 0,4 et 1 ng/ml) après prostatectomie radicale. Le traitement des patients était randomisé entre une hormonothérapie par bicalutamide (80 mg ; « schéma japonais ») suivie par un analogue de [...]

  • 24/02
    2020

Infiltrant ou non infiltrant, dans les tumeurs urothéliales là est la question.

Le pronostic et la prise en charge thérapeutique des tumeurs urothéliales d’origine vésicale sont clairement déterminés par le degré d’invasion et le stade tumoral (1-2).

S’il est facile d’identifier une tumeur infiltrante de haut risque, il peut être parfois difficile de trancher entre une tumeur vésicale non infiltrante (TVNIM) et une tumeur vésicale infiltrante (TVIM), entrainant un sous ou un surtraitement du patient et un [...]
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