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Suppression ovarienne adjuvante chez les femmes préménopausées avec un cancer du sein : étude négative ou positive ? !
De Décembre 2003 à Janvier 2011, l’étude SOFT a inclus de façon randomisée 3066 femmes préménopausées RH+ (expression > 10% des récepteurs aux œstrogènes > 10% et/ou à la progestérone) en 3 bras : tamoxifene, suppression ovarienne + tamoxifene, suppression ovarienne + exemestane. Ce sont les résultats de la comparaison entre les 2 premiers bras de traitement qui sont publiés.
Les femmes étaient soit naïves de chimiothérapie, soit déjà traitées par chimiothérapie mais restant non ménopausées après la chimiothérapie. La question principale portait sur la survie sans récidive (SSR), en faisant l’hypothèse d’une supériorité de l’association (bras expérimental) par […]
Il y a dèjá plus ou moins treinta ans l association de TMX et agonistes de la LHRH fut présentée aussi bien dans l’indication K du sein ER+ adjuvant, mais l’échantillon réduit.
Néanmoins les résultats préliminaires y compris dans la maladie métastique avaient montré des réponses encourageantes. Nous avions publié la phase I-II avec le Pr. Keiling.
pour l’association castration et antihormones , le bénéfice est senti mais
ils restent des interrogations à résoudre
castration pour quelle durée et quelle la place du génomique dans le choix de la durée du trt
peut être que la deuxième période du trt est une prévention de la maladie
4 résponses à “Suppression ovarienne adjuvante chez les femmes préménopausées avec un cancer du sein : étude négative ou positive ? !”
Julio GASTIABURU
Fréquence d’effets sécondaires vasculaires,plaquettopénie et gynécologiques?
totJulio GASTIABURU
Oui, l’association est cohérent. néanmoins il faut établit la durée et la séquence des deux médicaments.
totSurveillance par Osteodensitométrie.
Julio GASTIABURU
Il y a dèjá plus ou moins treinta ans l association de TMX et agonistes de la LHRH fut présentée aussi bien dans l’indication K du sein ER+ adjuvant, mais l’échantillon réduit.
totNéanmoins les résultats préliminaires y compris dans la maladie métastique avaient montré des réponses encourageantes. Nous avions publié la phase I-II avec le Pr. Keiling.
Yassir SBITTI
pour l’association castration et antihormones , le bénéfice est senti mais
totils restent des interrogations à résoudre
castration pour quelle durée et quelle la place du génomique dans le choix de la durée du trt
peut être que la deuxième période du trt est une prévention de la maladie