L’année 2015 est indiscutablement celle de l’immunothérapie dans le cancer bronchique. L’utilisation dans les essais cliniques des inhibiteurs des points de contrôle anti-CTLA4, anti-PD1 et anti-PDL1, nous avait initiés à la gestion des effets secondaires de cette nouvelle classe thérapeutique qui fera partie de notre arsenal thérapeutique très prochainement. L’ATU nominative actuelle du nivolumab (anti-PD1) dans le carcinome épidermoïde à partir de la 3ème ligne, nous confronte un peu plus à ces molécules et à l’apprentissage de l’optimisation de leur tolérance. Voici une synthèse qui va vous aider !
Les molécules les plus avancées dans leur développement dans le cancer bronchique sont les anti-PD1 (nivolumab et pembrolizumab) et les anti-PDL1 (MPDL 3280A par exemple), par rapport aux anti-CTLA4 (ipilimumab notamment). La tolérance globale de ces molécules est […]