La pharmacogénétique au secours des victimes du 5-FU.
Les fluoropyrimidines, seules ou en combinaison, font partie des anticancéreux les plus prescrits à ce jour, dans le monde. Utilisés aux doses standards, on dénombre tout de même 20 à 40% d’effets secondaires sévères reliés au traitement (souvent à la combinaison, bien sûr) et jusqu’à 1% de décès. Et si on pouvait prédire et éviter les cas les plus graves ?
L’ANSM a au début de cette année rappelé le caractère indispensable de la recherche d’un déficit en DPD avant toute prescription de 5-FU ou de Capecitabine. Plus d’informations sont disponibles sur le site GPR. Bien évidemment, il reste des […]
Une réponse à “La pharmacogénétique au secours des victimes du 5-FU.”
nicolas roserot
Les méthodes d’évaluation de l’activité de la DPD sont contreversées, tant sur le plan du génotype (quelles mutations rechercher) que sur le plan phénotype (Uracilémie ou UH2/U)… A noter cet article comparant les différentes méthodes https://academic.oup.com/annonc/article/29/suppl_5/mdy151.215/5039227
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nicolas roserot
Les méthodes d’évaluation de l’activité de la DPD sont contreversées, tant sur le plan du génotype (quelles mutations rechercher) que sur le plan phénotype (Uracilémie ou UH2/U)… A noter cet article comparant les différentes méthodes https://academic.oup.com/annonc/article/29/suppl_5/mdy151.215/5039227
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