« Occuper » les tissus sensibles pour limiter les toxicités.
Et si l’on se préoccupait trop de diminuer les « effets secondaires » induits par les agents anticancéreux, et pas assez de diminuer la susceptibilité propre au corps humain et à chaque organe ? Si un traitement est hépato-toxique, faut-il adapter le traitement au foie, quitte à diminuer son activité antitumorale, ou est-il plus judicieux d’adapter le foie au traitement ? On change de référentiel…
Une approche extrêmement intéressante, comme souligné par Daphné dans sa brève, qui consiste à « adapter l’organisme au traitement et non le traitement à l’organisme » (je ne plagie pas, je paraphrase…), lorsque ce dernier est impossible. – VLV Les chercheurs […]