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Méfions-nous des rashs sous anti-PD1 dont le profil d’expression génique est proche de la nécrolyse épidermique toxique.
Dans les principales études concernant l’utilisation des anti-PD1 dans le traitement du mélanome métastatique, la fréquence des rashs variait de 10 à 25% et du vitiligo de 9% à 11%1,2 et . L’apparition d’un vitiligo et/ou rash serait corrélée à une meilleure survie globale 4 mais le mécanisme de ces éruptions cutanées reste inexpliqué.
Réactions cutanées cytotoxiques secondaires au traitement par anti-PD1. Dans cette étude, 68 patients de l’hôpital de Zurich étaient traités par anti-PD1 pour un mélanome stade 4 (nivolumab ou pembrolizumab) entre février 2013 et septembre 2015. Ces patients ont été suivis […]
